Il y a des périodes dans la vie où tu as peur. Des périodes où tu es confronté à des choix. Il y a même des périodes où tu as l’impression de ne plus rien contrôler, comme si tout allait mal.
En ces temps de climat politique particulièrement houleux, ce sont encore (et toujours) les mêmes réactions qui se font entendre sur Internet et les réseaux sociaux.
“Merde alors, [insérer nom de candidat] est passé au second tour !”
“Merde alors, celui pour qui j’ai voté a eu 1% des votes !”
La réalité, c’est qu’on s’en fout. Oui ton candidat favori n’est pas passé. Oui le candidat que tu ne souhaitais pas voir passer au second tour y est. Ton candidat favori est peut-être même passé au second tour ?
La vérité est la même pour tous. Elle est froide et crue. Ces gens-là, qui sont censés être nos représentants, n’en ont que foutre de toi, et du peuple en général. Tu n’es qu’un chiffre pour eux, parmi tant d’autres millions.
Le prochain président ne changera pas votre vie
Ces hommes politiques au discours mielleux ne vont rien changer à ta vie, en mal comme en bien. Des millions de gens espèrent année après année que leur vie s’améliore miraculeusement, parce qu’un “messie” leur a vendu deux trois mensonges bien enrobés sous la forme de “promesses”. Une vie un peu plus confortable, un peu moins merdique, c’est ce que demande l’individu moyen.
En fait, tu le es seul au monde capable d’améliorer ta propre vie. Tu n’as pas le temps de te plaindre du résultat d’une pseudo-élection “démocratique” ayant mis une marionnette de plus au pouvoir, sur un trône déjà souillé depuis bien longtemps.
Tout ce que tu peux faire, c’est oublier la négativité.
Tout ce que tu peux faire, c’est prendre en main ta vie une bonne fois pour toute afin de développer un style de vie qui TE ressemble. Un style de vie qui va te permettre de maximiser ton bien-être, ta qualité de vie et ta productivité.
Je le dis et le répète, il faut rester sans cesse positif si l’on veut un jour réussir. Il faut sans cesse se répéter que l’on réussira à la hauteur de notre travail, et que notre bonheur ne peut pas dépendre d’un pingouin à la tête de l’État, qui n’en a que faire de vous.
Le monde occidental est depuis plusieurs années maintenant dans une phase de déclin : les signes sont de plus en plus visibles. Le peuple semble inapte à prendre les bonnes décisions, ce qui risque encore de continuer quelques années. La situation ne peut qu’empirer.
Dans ces conditions, quelle réaction adopter ?
Comme je l’ai déjà dit, tu peux être conscient de cela. Conscient de toute cette négativité dans le monde, et décider de purement et simplement l’ignorer. De la nullifier afin de te concentrer sur TON monde.
Ton entourage, tes objectifs, et surtout ta MISSION.
Ne te laisse pas contrôler mentalement
“Celui qui pense qu’il peut et celui qui pense qu’il ne peut pas ont généralement tous deux raison.”
Si tu penses que tu es condamné à une vie médiocre, alors tu le seras. Si tu penses que tu peux lever la tête fièrement et bosser dans l’ombre avec obsession sur tes projets, sans jamais te laisser corrompre par la négativité du monde, alors tu le peux aussi.
Je sais à quel point un mauvais entourage peut obscurcir ta façon de penser. Il y aura toujours quelqu’un pour te sortir le sempiternel “on vit dans un monde de merde”. Quand celui-ci ouvrira la bouche, ne réponds pas à sa négativité par de la négativité. Ne cherche pas à le faire changer d’avis. Garde simplement en tête que SON monde est condamné, pas le tien.
La recherche d’indépendance à tout prix
Être libre, c’est être heureux. Je parle rarement (voire jamais) de bonheur sur Guerrier Pacifique, contrairement à la blogosphère “développement personnel”. Et pour cause, je n’ai pas la prétention de pouvoir définir ce qu’est le bonheur. Je trouve cela très arrogant de débouler de nul part et pondre une définition à dormir debout du bonheur, comme s’il suffisait de cocher des cases dans l’ordre pour être heureux.
En revanche, ce que je sais, c’est que liberté et bonheur ont entre eux un lien très fort.
Une fois que tu es libéré mentalement (par l’exercice mental quotidien) et physiquement (réussite financière = avoir du choix) de tes chaînes, tu peux commencer à respirer d’une manière différente. Une fois que tu as acquis la liberté de choisir ce que tu veux faire de ta vie et de ton avenir, et que tu mets en places les actions nécessaires, une nouvelle voie s’ouvre. Une voie pleine de potentialité qui mêle étroitement liberté et bonheur.
Sam
J’approuve à 100% ce type de message. Ça fait du bien de lire quelqu’un (bien que je reste surpris qu’autant de personnes prennent du plaisir à écrire sur cette élection) qui ne moralise pas son audience sur les choix qu’il devrait faire au non d’un devoir/bien supérieur auquel il faudrait se soumettre.
Comme disait Georges Pompidou: “Mais arrêtez donc d’emmerder les français : Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays. On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira beaucoup mieux”
Je pense au final que le gros problème en France a été de diviniser l’Etat représenté par un homme providentiel, qui tel un superman serait capable de régler tous les problèmes de la société et en plus serait capable de répondre à chaque besoin individuel. Cela est effectivement une tartufferie mais on aime bien croire au Père noel faut croire, car l’espoir fait rever.
Pour conclure (car il n’a pas lieu d’écrire de commentaires trop politiques ici), comme tu l’écris, il vaut mieux croire en soi dans ses capacités à agir et à se dépasser mais aussi croire que l’homme peut aussi se réunir en petit groupe (association) pour faire bouger les choses à son échelle. Cette dernière action bien que plus représentée dans des pays ayant mis l’individu au centre (ex: États unis, Scandinavie, Royaume-Uni), est présente aussi dans une moindre en mesure en france avec: Les Restos du coeur, Emmaüs, le secours populaire/catholique, … Et ce type d’associations a fait et fera bien plus que n’importe quel candidat élu.
Rien à rajouter 😉